Maison dans un jardin japonais.
La résidence est composée de deux volumes rectangulaires couchés en béton gris clair, suspendus au-dessus du jardin et de l’eau sur des pieux graciles.
Le volume de vie, transparent, et le volume à coucher, fermé, sont reliés par une cage d’ascenseur massive gris foncé qui fait office de charnière. Afin de souligner l’impression que la maison flotte, les fonctions du rez-de-chaussée (hall d’entrée, vestiaire et garage) ont été exécutées en maçonnerie sombre (briques papesteen gris anthracite) et pourvues de vitrages collés pour une transparence maximale. L’ensemble géométrique de plans, lignes et volumes ainsi que la sobriété des éléments de façade en béton forment un contraste avec l’environnement organique.
Le fait de percher la maison sur des pilotis a permis de limiter au maximum la surface au sol construite et de préserver les étangs ainsi que le jardin japonais. La nature se glisse sous, entre et au-dessus des espaces de vie.